La reprise des activités de recherche s’est consolidée tout au long de la dernière année, au bénéfice des scientifiques de tous les horizons. À l’IRIC, nos équipes ont mis les bouchées doubles pour conserver une vie scientifique dynamique afin de nourrir discussions et réflexions.
Au cours de cette année faste, notre Institut a été l’hôte de deux récipiendaires du Prix Nobel : Roger D. Kornberg et Tomas Lindahl. Les deux événements ont été l’occasion pour notre communauté de découvrir le travail colossal accompli par ces deux sommités et de discuter de ses propres contributions à l’avancée des connaissances.
L’année s’est également déroulée sous le signe des collaborations, l’IRIC établissant des partenariats dans le cadre de projets d’envergure tels Médicaments Québec et Acuité Québec. Notre capacité institutionnelle à travailler conjointement avec d’autres organisation est un grand atout, particulièrement pour relever de grands défis.
À une échelle plus humaine, je suis fier des membres de notre Institut, dont plusieurs sont de véritables modèles pour leurs pairs et pour la relève. Je pense, entres autres, à mes collègues Katherine Borden et Trang Hoang : toutes deux professeures-chercheuses, elles sont des scientifiques d’exception qui méritent amplement les honneurs qui leur ont été décernés par la Société canadienne des biosciences moléculaires cette année.
Notre Institut a su braver la tempête pandémique avec brio, et je suis confiant que notre communauté continuera à relever les défis à venir. Notamment, nombre de nos recrues ne connaissent l’IRIC et les études supérieures qu’en mode COVID-19; à nous de leur faire découvrir le dynamisme et la cohésion si caractéristiques de notre Institut!